G.M.Strasbourg préparerait sa transformation en SCOP ou J'évoquerais sa Nationalisation.
A appartenir à une Etat, autrant que ce soit à la France.
Car parmi toutes les restrictions proposées aux salariés la plus choquante est leur renoncement à :
"la participation des salariés aux fruits de l'expension de l'entreprise".
En effet, cette participation n'est effective que si l'entreprise effectue des bénéfices.
- Où vois-je écrit que l'on attend de l'Etat qu'il abandonne sa part appelée Impôt Société ?
- Où vois-je écrit que les actionnaires renonceront à leurs dividendes sur la même période ?
Les rapporteurs en tout genre, dont les journalistes, auraient-ils omis de nous donner ces précisions ?
Je ne le crois pas. Si tel est le cas, la voie des commentaires pour répondre à ces questions, leur est tout à fait accessible et je m'engage même à rédiger un nouvel article exclusivement pour les mettre en évidence.
Certains regrettent, et j'en suis, de voir que de nombreux ado choisissent la voie de la délinquance pour s'enrichir... C'est à dire comme branche d'activité professionnelle.
Nos dirigeants ont eu une idée de génie : Développons l'esprit patriote afin que les Uns ne se dressent pas contre les Autres, au moins, sur notre territoire.
Comment ? En mettant des drapeaux aux fenêtres, en apprenant la Marseillaise à l'école... Et en rentrant à la maison la belle image : Papa et Maman qui sont privés de leurs "rémunérations à la Française" pour obéïr à des contraintes Américaines et devoir accepter une "rémunération à la Mexicaine" alors que le coût des produits consommables, dont ceux de première nécessité, restent ce qu'ils étaient : Evalués à la Française".
Comme en plus, l'nstruction est devenue ce qu'elle est, nos enfants savent lire.
La colère aidant, leurs enseignants aussi, ils observent que la DELINQUANCE est une notion subjective qu'on leur emballe dans des "Je vous aime puisque vous me ressemblez, nous appartenons à la même famille élargie, nous sommes Français."
Cela me rappelle un poème que récite parfois Guy FEUGIER, dont j'ai oublié le texte exact et le nom de l'auteur mais dont j'ai retenu :
Tu me dis que tu aimes le poisson : Et tu le manges volontiers
Tu me dis que tu aimes les fleurs : Et tu les cueilles pour les mettre en vase
Alors, quand tu me dis que tu m'aimes : J'AI PEUR !
Eh bien, si j'étais Présidente, je laisserais partir ceux qui veulent partir... avec leurs valises de ... vêtements.
N'étant pas une voleuse, je ne confisquerais ni les stocks ni les investissements ni les autres actifs des ex -patr...iés, mais les acheterais à crédit, sur une durée de 15 à 20 ans sous réserve qu'une privation de clientèle ne me contraigne à un dépôt de bilan, car en tant que créanciers chirographaires (rembousés en dernier s'il reste quelque chose), ils devraient probablement abandonner leurs créances. Comme apparemment ils peuvent alimenter le carnet de commandes, le sort de leur prêt obligatoire ne tient qu'à eux.
Je désignerais des chefs d'entreprise compétents et, avec les indemnités chomage non versées, je constituerais un capital réparti entre les salariés. Je créerai une SCOP et vis à vis des tiers, pour sa phase de lancement, 5 ans par exemple, je proposerais un tutorat de l'Etat, donc sa garantie, pour les emprunts destinés à maintenir l'outil de production ou à le développer.
Je suis blanche
Et pourtant je ne peux m'empêcher de rêver.
Même en dehors du blog des amisdespoetes... La preuve !
Mais si les poètes n'avaient pas raconté leurs rêves, la Bastille serait encore ce qu'elle fût et non ce qu'elle est devenue.
Françoise-L.